Sur le plan musical, ça se joue sur une tessiture mezzo-soprano gargarisée, si je puis m’exprimer ainsi, au jus de citron et de miel. Accrochées bien haut au palais, les saveurs maintiennent sans fléchir la tonalité, la modulant finement, sans écorcher le moins du monde à la fois le tympan et le bourgeon gustatif. Un sauvignon qui vibre bien. (5+) ©
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https://www.ledevoir.com/vivre/vin/590096/le-bio
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